ON SE REVEILLE

Alors Atha, as tu trouvé ta muse

Comme je vais être privé de wow un petit moment, je repasserai par ici en espérant avoir des nouvelles de Mildred et camille...

A bientôt

Bah, Blaiwan il refuse de me servir de muse alors ... ça fait 7 mois que je sèche littéralement

Bon bah ... sans Blaiwan comme muse vu qu'il a refusé ton offre voila ce que ça donne comme suite:


Son corps ondulait dans un océan immense et profond. Tout n’était qu’obscurité autour d’elle. Elle sentait son corps descendre doucement, lentement comme aspiré par le fond. Etrangement autant le fait d’être plongée dans l’obscurité lui donnait l’impression de flotter dans une immensité, et autant le fond vers lequel elle se rapprochait en douceur lui paraissait minuscule. Cela semblait être une petite pièce ronde juste éclairée par quelques bougies. Elle se posa là tout en douceur et restât un petit moment allongé sur le sol à goûter la douceur et la quiétude de ce nouveau lieu. Au bout d’un moment qu’elle ne parvenait pas à déterminer comme si ici le temps n’avait plus sa place, elle finit par se lever. A ses pieds, au sol il y avait des mots gravés et en face d’elle deux portes se tenaient là comme des gardiens de ce lieu situé hors du temps. En fait, il n’y avait rien d’autre, la pièce lui semblait ronde uniquement par ce que les bougies n’éclairaient qu’une simple petite zone circulaire dans laquelle elle se trouvait. Les deux portes semblaient elles-mêmes posées sur le sol et retenu par le vide, aucun mur ne semblait les retenir, il lui aurait suffit de regarder derrière ces portes pour voir ce qui se trouvait derrière. A quoi pouvaient-elles donc servir ? A moins que ces portent ne l’emportent vers un autre monde, mais laquelle de ces deux portes choisir ? Où se trouvait-elle ? Elle était juste entourée du néant avec deux portes en face d’elle. Elle tendit sa main vers la première porte, les formes qui étaient sculptées dessus semblaient se mouvoir imperceptiblement et l’appeler à elle. Plus elle s’en approchait et plus elle ressentait de drôles de sensations comme si ces créatures sculptées avaient le pouvoir de l’envoûter et de la consumer de l’intérieur. Elle retira vivement sa main et tendit son autre main vers la seconde porte. La sensation étrange disparut et fut aussitôt remplacée par une sensation de bien être au-delà de tout ce qu’elle avait put imaginer. Elle retira sa main et décida de regarder l’inscription au sol. Elle était pleine de traits liés et déliés que Mildred aurait été plus à même de déchiffrer mais alors qu’elle regardait les inscriptions il se passa un phénomène étrange : elle se rendit compte qu’elle n’éprouvait aucune difficulté à lire le texte inscrit. En fait elle ne le lisait pas, il résonnait dans sa tête et il semblait y flotter comme elle-même flottait il y a encore quelque instant dans cette immensité.

Le mal ne peut exister sans le bien, le bien ne peut exister sans le mal.

C’est à ce moment qu’elle aperçut des inscriptions au dessus des portes qui lui avaient échappé jusque là. Au dessus de la première porte, avec une écriture qui semblait torturée était inscrit ces mots : le mal. Et enfin au dessus de la seconde étaient inscrits dans une magnifique écriture enluminée les mots suivants : le bien.
Elle se décida pour la seconde porte et tendit sa main pour l’ouvrir. Elle n’eut même pas à l’effleurer pour qu’elle s’ouvre toute seule comme si elle s’était ouverte sous l’effet de ses pensées. Derrière cette porte se trouvait une immensité de verdure fleurie et au loin quelques arbres. Elle aperçu une forme qui semblait lui faire de grands signes. La forme semblait lui crier quelque chose mais elle était trop loin pour entendre. Un petit vent sembla s’élever vers elle et elle put reconnaître le son de la voix qui parvenait maintenant à ses oreilles. C’était celle de Mildred, elle lui faisait de grands signes. Elle était donc elle aussi arrivée dans cette pièce et avait choisit cette porte ? Elle se décida à la rejoindre et franchit le seuil de la porte. Elle se mit à courir pour rejoindre son amie, heureuse de pouvoir enfin la retrouver mais la silhouette semblait ne jamais vouloir se rapprocher, comme si elle se contentait de courir sur place, elle se retourna pour voir quelle distance elle avait parcourut mais la porte n'était plus là, elle recommença à courir jusqu’à en perdre haleine en ne cessant de crier le nom de son amie quand soudain le sol se déroba sous ses pieds, elle était à nouveau dans le néant, aspiré par le vide et sous elle, elle voyait quelque chose qui lui sembla familier. La porte ! Celle qui représentait le mal semblait l’aspirer, elle avait beau se débattre et crier rien n’y faisait, elle était irrémédiablement attirée comme un aimant par cette porte qui semblait prendre vie et prendre possession de son corps la torturant de l’intérieur comme un brasier allumé, un feu intérieur la consumait et la brûlait vive jusqu’au moment où elle finit par perdre connaissance.

Tu n'as vraiment pas besoin de muse, toujours aussi bien.

Vivement la suite

Blaiwan comme muse ça donne ça:

-Bah t'as qu'à parler du temps qu'il fait en Bretagne !

Du coup j'ai rennoncée
Désolée Blaiwan dans la suite de mon histoire je ne parlerais pas de la légendaire pluie qui fait sa réputation à la Bretagne
Par contre j'ai décidé de donner ton nom au prochain perso qui entrera dans l'aventure, tu n'es pas très doué comme muse mais je trouve que le nom de Blaiwan sonne bien heu par contre ce ne sera pas un guerrier, je te pique juste le nom de ton perso, tu es d'accord hein? *pas de réponse* Parfait je prend ça pour un oui
Donc dans la suite vous découvrirez un voleur répondant au nom de Blaiwan en mauvaise posture :p Quelle type de posture : heu .... une corde au cou , mais bon il y a le temps encore il n'est pas prêt d'arriver, et d'ici que j'arrive à ce paragraphe il aura peut-être disparut de l'histoire

Suite:

Alors le temps en bretagne: des passages nuageux, il fait actuellement 8°, nous avons un vent de Ouest Sud-Ouest de 10 km/h.
Paliptant non?


Bon en fait vous avez le choix avec une autre suite

Suite n°2:

Une bulle d’océan.
Camille marchait, entourée d’eau, sans même toucher le sol de ses pieds. Elle remontait l’allée qui la séparait des mariés tel une demoiselle d’honneur apportant les alliances des mariés. Elle tenait dans ses mains un petit coffret. Ses mains sortirent de la bulle, elle tendit le coffret à la mariée qui le prit. Au moment même où le coffret quittât ses mains, la bulle qui l’entourait éclata, l’eau se répandit sur le sol et Camille s’écroula, l’eau aussi se vidait de ses poumons, elle toussa, cracha puis tenta de reprendre son souffle tel un nouveau né sortant du ventre de sa mère. Ses poumons à vif s’emplirent d’air et elle poussa un hurlement de douleur sous cette nouvelle torture avant de s’évanouir à nouveau.




Hum hum, je continue l'histoire en prenant la suite n°1 ou la suite numéro 2

Elle était allongée sur une plage, les yeux fermés. Elle sentait le remoud des vagues qui venaient lui lécher les pieds avant de se retirer. Elle n’avait pas envie d’ouvrir les yeux, elle était si bien, elle sentait le soleil caresser sa peau tandis que les vagues venaient la lécher afin de lui apporter un peu de fraîcheur. Elle écoutait les oiseaux, elle ne savait pas depuis combien de temps elle était là, allongée, mais peu lui importait.
Le soleil ne la réchauffait plus maintenant, et les vagues commençaient à atteindre sa tête, la poussant un peu plus vers le rivage, puis, au moment où elles se retiraient elles tentaient de la faire venir avec elles. Elle songeait qu’elle devait se réveiller mais elle n’y arrivait pas. Sa tête se balançait au grès des vagues puis elles se retirèrent d’un seul coup. Camille prit une profonde inspiration quand une vague plus grosse que les autres déferla sur elle et l’emporta au milieu des flots. Elle eu beau se débattre elle était sa prisonnière. Les remouds l’emportaient au plus profond de l’océan, au bout d’un moment elle cessa de lutter et perdit à nouveau connaissance laissant son cerveau glisser dans les abîmes du néant. Un voile l’enveloppa puis plus rien, juste le vide. Elle se posa délicatement au fond de l’océan.

Un très bon mélange des deux suites

Que l'inspiration soit avec toi

Flic …



Floc …



Flic …



Floc …


Des gouttes d’eau tombaient doucement, tranquillement au loin. Son esprit commençait à s’éclaircir, il y avait quelqu’un à côté d’elle. Elle essaya d’ouvrir les yeux. Un petit rire cristallin l’accueillit dans sa tentative. Elle entrevit juste une forme floue qui s’éclipsait dans la pièce voisine. L’eau résonnait dans sa tête. Une fois que les brumes de son esprit commencèrent à se dissiper elle se rendit compte qu’elle était dans une caverne. Elle se redressa pour se lever. La caverne était sombre mais il semblait qu’il y avait une source lumineuse dans l’autre salle. Il y avait au centre de cette pièce comme sculpté par les eaux millénaires une petite fosse qui retenait celle-ci. L’eau y tombait d’une stalactite et résonnait dans la tête de Camille. Juste à côté, une petite fille jouait sagement avec des petits cailloux, elle se retourna et lui sourit, son petit rire cristallin résonna à nouveau dans la tête de Camille. La petite fille se redressa et lui prit la main pour l’entraîner vers la petite fosse emplie d’eau. Elle regarda le fond de l’eau et se tourna vers elle en lui souriant. Camille lui posa alors la question qui lui brûlait les lèvres depuis un petit moment déjà :

Ca c'est pas très très gentil...

On a coupé la fin, j'ai bien cherché la page suivante... mais rien.
Je vais vérifier si la question ne se trouve pas dans un autre sujet...

...après 3 heures de recherche sur le forum, je n'ai rien trouvé.

Je commence à penser que c'était fait exprès.

La suite est surement sur un autre forum, je vais voir ça.
A bientôt...

heu ... tu veux juste la question?
Suis sûre qu'après tu voudras la réponse, et qu'une fois que tu auras eu la réponse tu voudras la suite
Enfin, je m'avance peut-être

Alors, suite et fin pour le moment vu que le reste est dans ma tête et que je ne sais pas encore comment la mettre en ligne




Camille lui posa alors la question qui lui brûlait les lèvres depuis un petit moment déjà :

-Où suis-je ?
-Dans ton rêve !
-Dans mon rêve ?
-Oui ! Et bientôt tu vas te réveiller. Et moi, je disparaîtrais.
-Oui, puisque tu n’es qu’un rêve …
-Mais je ne veux pas disparaître !
-Mais puisque tu n’es qu’un rêve ! Tu n’existes pas !
-Si ; j’existe, dans ton rêve. Mais à ton réveil, je disparaîtrais. Je t’en pris ne me laisse pas disparaître !
-Mais comment puis-je faire puisque tu n’es qu’un rêve !
-Nommes-moi !
-Te nommer ?
-Oui ! C’est toi qui m’as créé dans ton rêve, tu m’as forcément donné un nom !
-Non !
-Mais si ! Je t’en supplie ! Il faut que tu le prononces à haute voix avant que tu ne te sois réveillé, sinon, ce sera trop tard et je disparaîtrais !

Elle glissa sa main sur l’eau et la surface se transformât comme un tableau, c’était comme si elles voyaient le monde du haut d’un nuage. L’image se rapprocha et Camille put reconnaître son village natal.

-Oh ! C’était mon arbre préféré, j’adorais y grimper quand je voulais être tranquille et que ma mère m’interdisait de quitter le village ! J’y passais des heures entières ! Pourquoi sont-ils tous attroupés auprès de l’arbre ? Je les reconnais ! Il y a mes parents, mes frères et sœurs ! Même Uriel est là ! Et Mildred ! Que fait-elle agenouillée par terre ? Pourquoi ont-ils l’air si triste ?

Plus l’image se rapprochait et plus elle pouvait voir des détails. Il y avait un petit monticule de terre juste devant Mildred, et maintenant elle en était si proche qu’elle pouvait entendre la voix de son amie.

-C’est ma faute ! Tout est ma faute disait-elle.
-Mais non ce n’est pas ta faute ! De quoi parles-tu au juste ! Pourquoi vous ne m’entendez pas quand je parle ? Vous ne me voyez pas non plus?!

La petite main de la fillette serra un peu plus fort celle de Camille.
Maintenant Camille commençait à s’enfoncer dans la terre.

-Non je ne suis pas morte ! Ce n’est qu’un rêve ! Je vais me réveiller !
-Oui, ce n’est qu’un rêve, bientôt tu vas te réveiller, et moi, je disparaîtrais ! Nommes-moi ! Dis mon nom !

Camille ne l’entendait plus, elle se débattait. Elle était maintenant enfermée dans une petite boite en bois, elle se débattait mais l’air commençait à se faire rare, elle avait de plus en plus de peine à respirer. L’image de la petite fille commençait à se désagréger devant elle, elle lui tendait la main mais elle s’éloignait vers le néant d’un air suppliant. Alors Camille dans un dernier effort compulsif se mit à se débattre frénétiquement en criant :

-Réveilles-toi ! Tu n’es pas morte Camille ! Il faut que je me réveille ! Il faut que je me réveille ! Cyndel ! Cyndel ! Cyndellllllllllll !

Elle sentit une main la serrer et la voix de Mildred comme venant d’outre tombe lui parler sur un ton apaisant.

-Chut ! Calme-toi, sinon tu vas finir par manquer d’air, il faut que tu te calmes ! Tout va bien, je suis là, je suis juste à côté de toi !

Camille entrouvrit les yeux, elle ne savait plus si elle était encore en plein rêve ou non. Avant de reperdre conscience elle eu juste le temps de dire à son amie dans une voix pâteuse :

-Mildred, je veux me réveiller ! Aides-moi !

*Avec un mal de crane épouvantable Crazy ressort de la cave avec des tonneaux sous les bras*

Wouahou j'ai raté la suite on dirait

Bon bref Blaiwan en muse ça aurait pu le faire avant que je voie ses idées

non je déconne

Bref en un mot comme en mille la suite ma Reine !

Franchement c'est bien continue comme ça

Toujours aussi bien

Vivement l'arrivée du voleur